Le VRI, c'est 150 chercheurs impliqués dans plus de 40 projets de cherche internationaux.
James Di Santo a obtenu un M.D./Ph.D. combiné en 1989/1991 du Cornell University Medical College et du Memorial Sloan–Kettering Cancer Center, puis a complété une formation postdoctorale avec Alain Fischer à Paris, où il a caractérisé plusieurs gènes responsables des syndromes d’immunodéficience primaire chez l’homme.
En 1994, il rejoint l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (Inserm) en tant que chercheur permanent. En 1999, il déplace son laboratoire au Département d’Immunologie de l’Institut Pasteur, où il a dirigé ce département de 2002 à 2006. Ses intérêts de recherche incluent la définition du rôle des cytokines dans le développement des organes lymphoïdes et la compréhension de la différenciation des cellules tueuses naturelles et d’autres cellules lymphoïdes innées.
Dans le cadre du VRI, il étudiera les immunothérapies combinées pour éliminer les réservoirs de VIH-1 en utilisant de nouveaux modèles de souris « humanisées ».